H2V

Situé sur la commune éponyme, le projet est à proximité de la plateforme industrielle Les Roches – Roussillon dans la région Auvergne-Rhône-Alpes.
• 2 unités de production de 100 MW (= 200 MW)
• 28 000 T par an d’hydrogène vert produit par électrolyse de l’eau
• Mise en service en 2029
• Création d’environ 120 emplois
• Investissement autour de 200 à 250 millions d’euros
• 280 000 T de CO2 évitées chaque année, soit les émissions de 160 000 voitures
Le projet est au coeur de grands axes de communication. En bordure de Rhône, il permettra d’alimenter de potentiels débouchés fluviaux, mais aussi les stations-service de l’axe Paris-LyonMarseille grâce à sa localisation privilégiée sur un axe majeur de communication terrestre. Via un pipe hydrogène dédié, la gigafactory pourra également fournir les industries chimiques et pétrochimiques de la vallée engagées dans des plans de décarbonation de leur processus industriel de grande ampleur. Demain, le projet sera placé au coeur du futur réseau de transport d’hydrogène (European Hydrogen Backbone) reliant l’ensemble de l’Europe et pourra également bénéficier de capacités de stockage en cavités proches.

Situé dans la zone industrielle de l’agglomération de Valenciennes, dans la région Hauts-de-France, le projet s’insère dans un territoire à fort enjeux de décarbonation, à la frontière entre la France et la Belgique.

• 4 unités de production de 100 MW (= 400 MW) en 2 phases
• 56 000 T par an d’hydrogène vert produit par électrolyse de l’eau
• Mise en service à partir de 2028
• Création d’environ 200 emplois directs et indirects
• Investissement entre 500 et 550 millions d’euros
• 560 000 T de CO2 évitées chaque année, soit les émissions de 320 000 voitures

Le projet est situé sur la commune de Saint-Sulpice la Pointe, au sein de la Communauté de communes Tarn Agout, contigüe à la métropole toulousaine en région Occitanie.
• 1 unité de production de 100 MW
• 14 000 T par an d’hydrogène vert produit par électrolyse de l’eau • Mise en service en 2028
• Création d’environ 70 emplois
• Investissement d’environ 160 millions d’euros
• 140 000 T de CO2 évitées chaque année, soit les émissions de 80 000 voitures Positionné au coeur d’un axe stratégique de mobilité, au carrefour de 2 corridors de transport européen Ten-T corridors : l’axe Nord-Sud Paris/Bilbao et l’axe Est-Ouest Toulouse/Bordeaux. Il est également proche de l’aéroport de Toulouse Blagnac, 5ème aéroport français en nombre de passagers en 2019. Il approvisionnera la mobilité lourde (camions, trains, autocars, BOM, …) et permettra l’élaboration de carburants de synthèse.

Le projet se situe au coeur de la zone portuaire de Thionville-Illange dans la région Grand Est.
• 4 unités de production de 100 MW (= 400 MW)
• 56 000 T par an d’hydrogène vert produit par électrolyse de l’eau
• Mise en service en 2028 de la 1ère phase de 200 MW
• Création d’environ 190 emplois
• Investissement entre 500 et 550 millions d’euros
• 560 000 T de CO2 évitées chaque année, soit les émissions de 320 000 voitures
La gigafactory, accueillie au coeur d’une zone stratégique de mobilité, disposera d’un accès direct aux autoroutes, d’un raccordement au réseau ferré international ainsi qu’aux bords de quais. Une infrastructure de qualité qui répondra aux besoins de la logistique multimodale, permettant des connexions rail-route, rail-route-fluvial, route-fluvial et base arrière du fret aérien.

Situé dans la région Sud, sur le port de Marseille Fos, le projet dispose d’un emplacement stratégique alliant un fort potentiel industriel à une activité portuaire maritime de premier plan.
• 6 unités de production de 100 MW (= 600 MW) en 2 phases
• 84 000 T par an d’hydrogène vert produit par électrolyse de l’eau
• Mise en service à partir de 2028
• Création d’environ 260 emplois
• Investissement entre 700 et 750 millions d’euros
• 840 000 T de CO2 évitées chaque année, soit les émissions de 480 000 voitures
Mené en partenariat avec le Grand Port Maritime de Marseille, le projet est au service de l’objectif du territoire : réduire les émissions de gaz à effet de serre de 81% d’ici 2050. Il permettra d’accompagner les industries présentes historiquement (raffinage, sidérurgie, etc.) qui ont engagé des plans de décarbonation de leur processus de fabrication. Il s’inscrira également dans le développement de solutions propres pour la mobilité lourde et en particulier la production de carburants de synthèse pour le secteur maritime et aérien (e-methanol, SAF, etc.).

Situé au coeur du domaine portuaire, le projet H2V Dunkerque, dans la région Hauts-de-France, se fera en deux temps sur deux sites : la première phase a obtenu en novembre 2022 tous les permis préfectoraux nécessaires à sa mise en exploitation et les études sont en cours pour la deuxième phase.
Première phase :
• 2 unités de production de 100 MW (= 200 MW)
• 28 000 T par an d’hydrogène vert produit par électrolyse de l’eau
• Mise en service en 2027
• Création d’environ 120 emplois
• Investissement environ 250 millions d’euros
• 280 000 T de CO2 évitées chaque année, soit les émissions de 160 000 voitures
Deuxième phase :
• 3 unités de production de 100 MW (=300 MW)
• 42 000 T par an d’hydrogène vert produit par électrolyse de l’eau
• Mise en service 2029
• Investissement environ 350 millions d’euros
• 420 000 T de CO2 évitées chaque année, soit les émissions de 240 000 voitures
Le bassin industrialo-portuaire de Dunkerque, représente à lui seul 21% des émissions industrielles de CO2, est appelé à devenir la première « zone industrielle bas carbone » (ZIBAC) de France. Ce projet de gigafactory est une solution opérationnelle pour les acteurs industriels locaux qui oeuvrent à la décarbonation de leurs activités. Mené en partenariat avec ArcelorMittal, la production d’hydrogène vert sera principalement exportée via une canalisation dédiée, l’autre partie étant affectée à la mobilité lourde.